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UNE BLONDE A L’EAU - CARTER BROWN
Carré Noir - Avril 1987 - 180 pages - 4 €

4° de couverture :
Depuis la mort de Rod Blane, le grand espoir du cinéma américain, Hollywood ressemble à une vallée de larmes.
Mais pour Rick Holman, le problème est de savoir qui le pleure vraiment, car, si, dans la capitale du cinéma, tout est factice, on y meurt parfois pour de bon
.

Carter Brown qui fut un pilier de la série est aujourd’hui tombé dans l’oubli. Les modes changent.
Voici un roman bien sympathique avec privé, whisky et petites pépés. C'est court, ça se laisse lire, on sourit. Du bon  petit polar des années 50-60, sans prétention, mais qui apporte un bon moment de délassement.
Citation :
Chez moi, c'est une question de principe. Si on a le malheur de laisser une  bonne femme s'imaginer qu'elle peut vous menez par le bout du nez, avant qu'on ait le temps de faire "ouf" on se retrouve chez elle, avec un  tablier autour de la taille, en train de lui mijoter de petits plats  pendant que Madame va faire la tournée des grand-ducs avec votre meilleur copain.”

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