On ne présente plus Frédéric Dard, le père de San Antonio, un des plus grands noms de la littérature policière. Il faut féliciter le Fleuve Noir qui a eu l’excellente idée de rééditer ses romans noirs. C’était l’époque bénie, où il n’était pas nécessaire de pondre des pavés de 500 pages pour bâtir une intrigue solide qui tient en haleine du début à la fin. Ce monte-charge en est la meilleure preuve. Et, ce qui ne gâche rien, les couvertures, sobres, sont parfaites.
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