Luis Alfredo - La baigneuse
SKA éditions, collection Noire Soeur, septembre  2021, 49 pages, 2,99 €

4° de couverture :
Où René Charles de Villemur barbote dans les énigmes de la « balnéocriminologie »…
Dans ce quatrième épisode de la saison 2, Luis Alfredo continue de balader son flic en nœud pap’ et Borsalino qui, derrière la fumée de ses cigares, ne se laisse impressionner ni par les titres, ni par les fortunes. Son flegme fera encore merveille dans cette enquête qui nous plonge dans le bain des secrets de famille.

Des activistes s’en prennent aux boutiques de lingeries. « À bas la chosification des femmes » s’écrie le groupe Emily Davidson, du nom d’une suffragette du début du XX° siècle. Après deux mois et l’incendie d’une vingtaine de boutiques les actions s’arrêtent.
Quelques mois plus tard la richissime Mme Delêtre est trouvée morte dans sa baignoire, d’un coup de stylet au cœur. Aidé de son fidèle second Octave, toujours affublé de son inséparable écharpe blanche, le flegmatique commissaire René Charles de Villemur enquête avec son calme habituel..
Qui a intérêt à la disparition de Mme Delêtre qui avait l’habitude de prendre un bain tous les soirs à 18h ? Les suspects sont peu nombreux. Seul un familier aurait pu entrer sans qu’elle réagisse. Qui ? Son mari ? Sa fille ? L’ami de sa fille ? Le séduisant masseur du Kama Institut que Mme Delêtre fréquentait régulièrement ? Tous un mobile : l’argent ! Qui héritera ? Mme Delêtre n’aimait pas l’ami de sa fille en qui elle voyait un coureur de dot. Ayant double nationalité, française américaine, elle pouvait la déshériter complètement, contrairement au droit français.
Et quel rapport avec le groupe Emily Davidson ? 
Une enquête « classique » dans le plus pur style « whodunit » mais menée par un flic pas vraiment classique !
Un nouvel épisode d’une série qu’on aimerait bien voir un jour à la télé !